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LA GRIPPE H1N1 CONSEQUENCES TPE/PME

Dirigeants de TPE / PME, artisans
la grippe H1N1 : 5 questions à se poser

1) Quelles sont les conséquences possibles pour l'entreprise ?
- Examen de la situation prévisible du secteur d’activité
- Evaluation des conséquences financières (baisse des commandes, journées perdues,
coût des mesures de protection…)
- Adaptation de l’activité à l’évolution des besoins des clients (possibilité de travail à
distance…)
2) Quelles sont les fonctions à assurer en toutes circonstances ?
- Hiérarchiser les missions devant être assurées en toutes circonstances (service paye,
facturation…)
- Personnel concerné (proximité domicile-travail ; disponibilité en cas de fermeture des
écoles…)
3) Quelles sont les ressources nécessaires à la continuité de l’activité
indispensable ?
- Moyens humains (postes clés, compétences, formation du personnel aux tâches
prioritaires…)
- Extension des délégations de signatures et des principes de suppléance
- Stocks complémentaires pour faire face aux pénuries d’approvisionnement
- Coordination avec les entreprises extérieures en cas de co-activité
- Déterminer les activités et postes de travail pouvant être assurés à distance
4) Quelles sont les mesures d’hygiène à mettre en place ?
- Affichage des mesures d'hygiène personnelles pour éviter la contagion
- Eviter au maximum les contacts physiques entre personnes en réduisant les
déplacements, entretiens ou réunions n’ayant pas une importance critique ;
- Refuser ou différer les congrès, séminaires ;
- Prendre des mesures appropriées en matière de courrier ;
- Appliquer une hygiène des locaux adéquate
5) Quelles acquisitions préalables faut-il faire ?
- Equipements de travail nécessaires au télétravail (sauf dans le cas où le travailleur
utilise son propre équipement, l’employeur en assure alors l’adaptation et l’entretien)
- Equipements de protection individuelle nécessaires en nombre suffisant (masques
adaptés).
Ces quelques questions vous permettront de rédiger le PCA, Plan de Continuité d'Activité, le
cas échéant en concertation avec les représentants du personnel

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TÉLÉTRAVAIL MODE D'EMPLOI

LA CRISE COVID 19 ET LE TÉLÉTRAVAIL La crise et les mesures de sûreté sanitaire que subissent nos entreprises ont ouvert la porte à une forme de travail peu utilisé à ce jour le TÉLÉTRAVAIL. Voici un petit mode d'emploi pour encadrer cette nouvelle pratique dans votre entreprise. METTRE EN PLACE LE TÉLÉTRAVAIL PAR AVENANT AU CONTRAT DE TRAVAIL En l’absence de charte ou accord au sein de l’entreprise, le télétravail peut être mis en œuvre par simple accord entre employeur et salarié. Le télétravail peut être demandé par tous les salariés et par tout moyen (e-mail, demande orale…). Aucun délai de prévenance n’est nécessaire. Mais il est préférable d’anticiper pour bien organiser le travail. L’employeur peut refuser la demande du salarié, mais il doit motiver sa réponse (tâches non compatibles…) Le télétravail peut avoir lieu au domicile ou en dehors du domicile, sauf si la charte ou l’accord prévoient le contraire. QUESTIONS RÉPONSES  

MESURES D AIDE A L EMBAUCHE JANVIER 2016

Les embauches réalisées par les PME à partir du 18 janvier et jusqu'au 31 décembre 2016, bénéficient durant les 2 premières années du contrat d'une  prime trimestrielle de 500 euros, soit 4000 euros au total. Cette prime est versée pour les salaires  jusqu'à 1,3 fois le SMIC  soit 22 877 euros bruts annuels pour une durée hebdomadaire de 35 heures. Cette prime est cumulable avec l'ensemble des autres dispositifs existants : réduction générale bas salaire, pacte de responsabilité et de solidarité, CICE (Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi). QUI EN BÉNÉFICIE ?  Pour en bénéficier, les entreprises doivent remplir les conditions suivantes : AVOIR DE 0 A 249 SALARIES EMBAUCHER EN CDI OU EN CDD DE PLUS DE SIX MOIS  OU  EN CONTRAT PROFESSIONNALISATION SUPÉRIEUR OU ÉGAL A SIX MOIS   LIEN VERS EMBAUCHE PME

CONTRAT DE GENERATION 2014

Les entreprises dont l’effectif est inférieur à 300 salariés ou qui appartiennent à un groupe dont l’effectif est inférieur à 300 salariés bénéficient sous condition d’une aide financière au titre du contrat de génération. L’entreprise qui recrute dans ce contexte un jeune de moins de 26 ans ou de moins de 30 ans bénéficiant de la qualité de travailleur handicapé en contrat à durée indéterminée (CDI) et qui parallèlement maintient dans l’emploi en CDI également un salarié âgé d’au moins 57 ans ou un salarié d’au moins 55 ans au moment de son embauche ou un salarié d’au moins 55 ans bénéficiant de la qualité de travailleur handicapé percevait une aide totale de 4 000 € par an (2 000 € par salarié pendant 3 ans maximum). Cette aide est portée à 8 000 € par an pour les entreprises qui recrutent un jeune de moins de 26 ans en CDI et embauchent simultanément ou au plus tôt six mois avant ce recrutement un salarié âgé d’au moins 55 ans. Cette aide totale de 8 000 € correspond à hauteu...